Toyota Hilux GR Sport II 2026 : Le roi des pick-ups sportifs est arrivé !

Découvrez le Toyota Hilux GR Sport II 2026, un pick-up sportif qui allie puissance, performance et design audacieux. Préparez-vous à vivre des aventures inoubliables.

L’origine du Toyota Hilux GR Sport II

Tout commence dans les années 60. Toyota lance le Hilux, un pick-up costaud pour les durs à cuire. Il traverse les époques et s’adapte. Toujours plus solide et toujours plus fiable. On le voit partout : dans les champs, en ville, en rallye. Le Hilux devient une vraie légende.

Mais en 2026, ça change encore. La marque japonaise sort la version GR Sport II. C’est pas juste un Hilux, c’est une bête. Une version sport, taillée pour les fans de sensations fortes. Imaginée par la division Gazoo Racing, la branche sport de Toyota. Ce Hilux-là, c’est pour ceux qui aiment le muscle et la nervosité. Il garde l’ADN du Hilux classique. Mais avec un p’tit grain de folie. Et pas mal de style. On sent l’influence du rallye, surtout du Dakar. Une machine conçue pour affronter tout et n’importe quoi. Et avec la gueule qui va avec. Bref, le Hilux GR Sport II, c’est le passé du pick-up qui tape dans le futur.

Un design extérieur bien énervé

Dès qu’on le voit, on comprend. Le Toyota Hilux GR Sport II 2026 n’est pas là pour rigoler. Il a une présence de ouf. Les lignes sont tendues, agressives. Rien à voir avec les pick-ups de tonton Jean-Claude. Là, c’est du sport, du vrai. Devant, la calandre noire s’impose. Le logo GR s’affiche fièrement. Y’a des touches rouges un peu partout. C’est discret, mais ça claque. Les jantes en alliage de 17 pouces sont stylées. Les pneus ? De vrais crampons. Prêts à dévorer la boue.

Et puis, il est rehaussé. Il semble plus haut, plus large. Plus costaud quoi. Les ailes élargies donnent un look encore plus baroudeur. Même les marchepieds sont pensés pour l’action. Pas juste pour faire joli. À l’arrière, le pare-chocs est renforcé. Et la benne ? Solide, pratique, prête pour charger n’importe quoi. En clair, ce pick-up a le look d’un guerrier. Il fait tourner les têtes, et pas que celles des amateurs. C’est un design qui tape dans l’œil, direct.

Sous le capot : ça pousse fort

Bon, on a parlé du style. Mais le cœur, il donne quoi ? Sous le capot, y’a du lourd. Le Toyota Hilux GR Sport II 2026 embarque un 4 cylindres 2.8 diesel turbo. Et pas un petit moteur timide. Il crache 204 chevaux et 500 Nm de couple. Oui, tu as bien lu. Ça envoie sec. Avec ça, le Hilux passe partout. Route, montagne, sable ou boue, rien ne lui fait peur. Il a une transmission intégrale et un châssis renforcé. Le différentiel arrière est autobloquant, pour une meilleure motricité. Tu sens tout de suite la patte Gazoo Racing. Mais ce n’est pas juste une question de puissance. La suspension a été revue. Amortisseurs spécifiques, ressorts retravaillés… Résultat ? Une tenue de route de malade, même en off-road. Et sur route, c’est ultra stable. Pour un pick-up, c’est bluffant.

Bref, ce moteur, c’est pas pour faire semblant. Il te pousse dans le siège. Il te donne envie d’appuyer, encore et encore. Et surtout, il ne lâche rien.

Un intérieur sport et technologique

À l’intérieur, c’est tout sauf rustique. Oublie le pick-up utilitaire tout simple. Ici, c’est classe, c’est confort, c’est techno. Dès que tu ouvres la porte, tu vois les sièges sport en cuir et suédine, avec des surpiqûres rouges. Ça sent le sport, mais avec du chic.

Le logo GR est partout. Sur les sièges, le volant, même sur les tapis. Et le volant ? Grosse prise en main, à méplat, avec des palettes derrière. T’as l’impression d’être dans une voiture de course. Mais avec une vue sur la montagne.

Côté infodivertissement, c’est du sérieux. Un écran tactile de 8 pouces, compatible Apple CarPlay et Android Auto. Y’a aussi une caméra 360°, bien pratique quand tu grimpes des rochers ou que tu te gares dans un coin étroit. Le son est bon, les commandes sont simples. Tout tombe sous la main. Et niveau rangements, y’en a partout. C’est bien pensé, bien fini. On sent que Toyota a bossé le truc à fond. Même les plastiques durs sont bien assemblés. Et y’a de la place, devant comme derrière.

Sécurité : au taquet

Ce n’est pas parce que c’est un dur à cuire qu’il oublie la sécurité. Au contraire. Le Hilux GR Sport II est bien armé. Il embarque toutes les aides à la conduite qu’on peut attendre d’un véhicule moderne. Et ça, c’est rassurant. Déjà, t’as le freinage d’urgence automatique, avec détection des piétons et cyclistes. Ensuite, il y a le régulateur adaptatif. Très utile sur autoroute. Le Hilux garde ses distances, freine, accélère… tout seul.

T’as aussi l’alerte de franchissement de ligne. Et si tu commences à te déporter, le volant corrige légèrement. C’est discret, mais efficace. Y’a aussi la reconnaissance des panneaux et l’alerte d’angle mort. Côté off-road, il a aussi ses petits gadgets. Le contrôle de descente, c’est magique. Tu descends une pente sans toucher aux freins. Et en montée, y’a l’aide au démarrage. Tu lâches le frein, il reste bloqué le temps que tu accélères.

Franchement, pour un pick-up, c’est hyper complet. Tu te sens en confiance, peu importe la route. Ou le terrain.

Tarifs et concurrents du Hilux GR Sport II

Bon, parlons chiffres maintenant. Le Toyota Hilux GR Sport II 2026 n’est pas donné. Il démarre aux alentours de 55 000 €. Ça peut faire mal. Mais vu l’équipement, les perfs, et la fiabilité Toyota, ça se défend. Il se place clairement sur le haut du panier. C’est pas un pick-up pour aller acheter des sacs de terre. C’est un jouet d’adulte. Un outil pro. Ou un vrai kiff pour les passionnés.

Côté concurrence, y’a du monde. Le Ford Ranger Raptor est son rival direct. Plus puissant, plus cher aussi. Ensuite, t’as le Volkswagen Amarok nouvelle génération. Chic, bien équipé, mais un peu moins typé sport. N’oublions pas le Isuzu D-Max V-Cross. Moins cher, mais moins stylé. Et le Mitsubishi L200, qui revient en force, mais reste en retrait côté sensations.

En gros, le Hilux GR Sport II, c’est un bon mix. Style, puissance, fiabilité. Il coche toutes les cases. Et pour les fans de Toyota, c’est une évidence. Oui, il coûte un peu. Mais il les vaut.